
Après près de trois ans d’inactivité, le rachat du site par le gouvernement pourrait permettre son réaménagement. Cela lui donnerait “une nouvelle vocation pour contribuer au développement économique”, selon le communiqué du ministère. De nouveaux emplois pourraient être créés et il n’est pas exclu que des projets relatifs à la défense puissent être menés à bien sur le site.
Si le curateur opte pour l’offre du gouvernement, l’entreprise ne sera pas vendue à un repreneur. La faillite de l’entreprise métallurgique a été prononcée en 2024. Une centaine d’employés étaient encore sous contrat chez Liberty Steel.
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