
Quel que ce soit le chantier: ce congé est nécessaire. Une réalité confirmée par de nombreux acteurs sur le terrain:
“Mais bien sûr, on a besoin du congé collectif, il faut quand même qu’on se repose un peu, par ce que sinon ça devient trop fatiguant. Il faut quand même que la tête se repose un peu.”
“Oui quand même parce que c’est un bon moment avec la famille. J’aime mon travail, mais j’aime aussi d’avoir un peu de repos et ça va faire du bien.”
“Oui je pense, ça fait du bien de toute façon. Parce que on travaille toute l’année, on mérite quand ¨ême un peu de congé.”
Les destinations sont très variées, mais le timing ne convient pas à tout le monde.
“Je pars au Portugal, j’ai de la famille, en fait toute la famille, là bas et j’ai aussi une maison. C’est pour ça que je pars là bas à chaque année.”
“Je vais partir voir la famille que j’ai à Bordeaux, donc je vais partir pour 2 semaines à Bordeaux en France.”
“Je pars la semaine prochaine aux Etats-Unis pour 8 jours, moi et toute ma famille.”
“Si on n’avait pas le congé collectif obligatoire durant cette période, ce serait plus facile pour moi d’y aller en même temps que ma femme. Maintenant je suis obligé d’y aller plus tôt et ma femme plus tard. On n’y va pas ensemble, on va seulement rester ensemble quelques jours.”
Ce congé collectif ne commence cependant pas ce vendredi pour tout le monde. Tous les engins qui vont rester au dépôt auront droit à une révision cet été, afin que tout soit en ordre pour la reprise.
“Pour demain on va tout mettre en place, organiser tout le parc. J’ai déjà organisé plus ou moins le planning pour la phase du congé. J’ai des grands entretiens à faire sous les camions et les pelles. Et des contrôles techniques. Il faut tout mettre en état pour que le 25 août, on démarre déjà à fond.”
Pour la plupart des salariés, le planning prévoit bien une pause, avec le soutien du patron: “je pense que le congé collectif est très important pour notre personnel qui a travaillé toute l’année. Cette mesure est également inscrite au contrat collectif, c’est un droit légal. Ensuite, pour l’organisation des chantiers, il est plus facile de fermer 3 à 4 semaines et puis de tout rouvrir en même temps” résume Gérard Thein, directeur général de Bonaria Frères SA.
Ma fir déi meescht vun den Aarbechtskolleege steet awer elo mol eng Paus um Programm an dat och mat der Ënnerstëtzung vum Patron.
Le reportage de RTL Télé: