Au Schluechthaus, le programme sera lancé le week-end du 29 mars. Ce devrait être l’une des dernières saisons dans la configuration actuelle du site, qui sera totalement couvert par une superstructure dans un avenir proche. En ce qui concerne cette superstructure, la mairie est allée se renseigner à l’étranger sur les divers matériaux possibles. Lydie Polfer, la bourgmestre de la capitale, espère un avant-projet d’ici l’été. Il est toutefois clair que le site ne pourra à aucun moment être totalement fermé, des événements s’y tiendront par conséquent pendant les travaux. L’ensemble du site sera à l’avenir cinq fois plus grand que l’actuel Skatepark.
Du 4 au 27 avril, la Place de la Constitution sera le cadre du “Fréijoer op der Gëlle Fra”, avec une série de concerts dans un environnement convivial avec aussi une piste de pétanque et plusieurs stands de catering.
Le Premier échevin de la Ville de Luxembourg, Maurice Bauer, a également abordé la situation des commerces dans la capitale. Après une entrevue avec l’Union Commerciale de la Ville de Luxembourg, il s’est dit très satisfait de la situation actuelle. La Ville tient au concept des Pop-up-stores. La capitale en compte neuf et un appel d’offres est en cours pour un local situé rue Origer. Les entrepreneurs intéressés ont jusqu’au 11 avril pour déposer leur candidature. Maurice Bauer réfute la critique que la Ville a recours aux Pop-up parce qu’elle ne parvient pas à garder ses commerces.
Les Pop-up ont un taux de réussite de 27% auprès des commerçants, qui s’établissent ensuite sur le marché libre. Pour un Pop-up-store, la mairie demande 650 euros de loyer plus 280 euros de charges par mois: c’est bien en-deçà des prix du marché.
En prévision de la Luga, qui débutera le 7 mai, la Ville a lancé un concours pour les commerçants sous le slogan “Luxembourg in Bloom” afin qu’ils décorent leurs vitrines, avec à la clé, un prix de 2.000 euros.
Le projet immobilier “Arquebusiers” occupe la Ville de Luxembourg depuis de nombreuses années. 400 logements sont prévus sur une surface de 14 hectares à Belair. 15 propriétaires ont dû s’entendre pour que ce projet soit mené à bien. Lydie Polfer est optimiste pour la suite et pense que le premier coup de pelle pourra bientôt être donné. Le remembrement est terminé, le PAP a franchi toutes les étapes et les études ont toutes été réalisées.
