
“Cette cérémonie d’ouverture” le long de la Seine, “c’est une première au monde. On peut le faire et on va le faire”, a dit le président dans une interview pour marquer le compte à rebours à 100 jours des JO.
Mais “il y a des plans B et même des plans C”, “et on les prépare en parallèle”, “on fera une analyse en temps réel” des risques, a-t-il ajouté.
En outre, Emmanuel Macron a assuré “vouloir tout faire pour avoir une trêve olympique” pendant les JO de Paris qui doivent être “un moment aussi diplomatique, de paix”.
“On veut œuvrer à la trêve olympique et je pense que c’est une occasion sur laquelle je vais d’ailleurs essayer d’engager beaucoup de nos partenaires”, comme la Chine, dont le président “vient dans quelques semaines à Paris”, a-t-il dit sur les chaînes BFMTV-RMC.
Le président français a renouvelé sa “confiance” dans les syndicats et souligné leur “esprit de responsabilité” alors que certains comme la CGT et FO ont déposé des préavis de grève pour la période des jeux olympiques cet été.
“La France, c’est une équipe, c’est une nation unie et donc on est au rendez-vous de cette exemplarité”, a-t-il lancé. “Et moi j’ai confiance dans les syndicats. Ils ont l’esprit de responsabilité, ils seront à nos côtés”, a-t-il plaidé.