
Dans sa réponse à une question parlementaire du député socialiste Mars Di Bartolomeo, la ministre de la Santé et de la Sécurité sociale a expliqué avoir reçu une telle demande de la part du syndicat des pharmaciens du Luxembourg.
Martine Deprez n’a cependant pas précisé la position du gouvernement par rapport à cette requête ou le montant demandé par le syndicat.
La ministre a également souligné qu’il n’était pas prévu dans l’immédiat de réduire l’offre de pharmacies ouvertes en dehors des heures d’ouverture normales au Luxembourg. De nos jours, ce service est assuré par dix pharmacies réparties dans tout le pays.
Le forfait nouvellement négocié devrait, selon la ministre, correspondre aux coûts réels d’un tel fonctionnement.