
Lors du traditionnel City Breakfast, la bourgmestre de la Ville de Luxembourg, Lydie Polfer, a fait le point sur les dernières répercussions de l'affaire Caritas concernant plus particulièrement la capitale.
Comme de nombreux autres acteurs, la Ville de Luxembourg avait conclu des conventions avec la Fondation Caritas. Six en tout pour un montant global d'environ 3 millions d'euros, qui étaient principalement utilisés pour payer les salaires des employés, a expliqué mardi matin la bourgmestre de la capitale, Lydie Polfer, lors du traditionnel point presse mensuel City Breakfast: “Le plus important est que nous avons besoin de ces services, nous les voulons et les gens qui y travaillent, doivent donc aussi être payés. Nous allons donc reprendre les conventions avec la nouvelle ASBL, mais cela représente encore beaucoup de travail.”
Une quarantaine de personnes travaillent pour Caritas dans les structures de la Ville de Luxembourg: “L'une est le Bistro Courage avec des appartements au-dessus, où des logements accompagnés sont assurés par eux. Ensuite nous avons encore un projet pour sans-abris. Puis le Parachute à la Gare. L’Epicerie sociale. Et la Maison numéro 15 au Dernier sol, où des sans-abris peuvent aussi dormir”.
Les conventions avec la nouvelle structure "HUT" pour "Hëllef um Terrain" (aide sur le terrain) ne seront juridiquement possibles qu'à partir du 1er octobre. Malgré tout, les services continuent de fonctionner normalement, a précisé la bourgmestre Lydie Polfer.