
Les juges ont donné trois semaines aux autorités américaines, qui veulent juger l’Australien pour une fuite massive de documents confidentiels, pour garantir que Julian Assange pourrait bénéficier du premier amendement de la Constitution américaine qui protège la liberté d’expression, et qu’il ne serait pas condamné à la peine de mort, selon un résumé du jugement.