
Photo d'identité judiciaire de Justin Timberlake, fournie par la police de Sag Harbor, dans l'Etat de New York, le 18 juin 2024 / © GETTY IMAGES NORTH AMERICA/AFP
La superstar de la pop américaine Justin Timberlake n'était nullement en état d'ébriété lorsqu'il s'était fait arrêter une nuit de juin au volant d'une BMW dans une région ultra huppée à l'est de New York, a défendu vendredi son avocat.
En tournée en Europe, le chanteur, producteur et acteur de 43 ans était censé comparaître par visioconférence devant un juge d'un tribunal situé à 160 km à l'est de la mégapole new-yorkaise, sur la grande île de Long Island, dans la région des Hamptons connue pour abriter des résidences somptueuses de grandes fortunes.
Mais Justin Timberlake a laissé son avocat Edward Burke affirmer devant le tribunal que la "police avait fait un nombre d'erreurs très importantes" notamment, selon ses propos rapportés par la presse, car "Justin n'était pas ivre et n'aurait pas dû être interpellé" dans la nuit du 17 au 18 juin.
L'artiste avait pourtant "reconnu les faits" ce soir-là, avaient indiqué à l'époque à l'AFP les services du procureur du comté de Suffolk, sur Long Island. La star devra s'expliquer par vidéo le 2 août.
Selon la police, Justin Timberlake avait été arrêté au volant d'une BMW "en état d'ivresse" - les "yeux injectés de sang, son haleine sentant l'alcool" - après n'avoir pas marqué de stop à un carrefour et ne pas avoir pu "maintenir" son véhicule sur la "bonne" trajectoire.