L'asbl „Luxembourg Art Law and Art-Finance Association“,(LAFA) a été officiellement inaugurée jeudi soir.

L'association cherche à regrouper toutes les personnes qui ont un intérêt particulier pour l'art, la finance et le droit à Luxembourg. Depuis l'ouverture du Luxembourg Freeport, ces intérêts touchent de plus en plus de monde au Grand-Duché.

Ainsi, le secteur bancaire a constaté que les clients exigent de plus en plus de services sophistiqués dans les domaines de l'art et de la finance. Cela est par exemple le cas pour le nantissement d'un chef d'oeuvre (le fait de pouvoir emprunter de l'argent en contrepartie de chefs-d'oeuvre) explique Alain Mesta, le Président de LAFA. Ce business fonctionne bien vu que l'art est très prisé au niveau de la finance ces dernières années, et parce qu'il y a un nombre croissant de familles aisées qui investissent leur argent dans l'art, que ce soient des tableaux, des statues, des voitures ou encore du vin d'un certain âge.

La LAFA a été conçue pour toute personne s'intéressant au domaine de l'art, aux artistes, aux personnes étant actives dans les galeries d'art, aux sociétés d'investissement, aux juristes ou encore aux banques privées.
Pour la LAFA et ses membres, il est primordial d'être actif au Luxembourg et de pouvoir en même temps, promouvoir le Grand-Duché comme place financière et artistique internationale à l'étranger.

Les responsables de l’association ont aussi comme objectif d'attirer des personnalités mondialement connues au Grand-Duché: le but est de gérer leur centre opérationnel depuis le sol luxembourgeois. L'asbl d'ailleurs déjà connu un véritable premier succès à ce niveau: à l'avenir, Maurizio Seracini (mondialement connu pour son étude diagnostique du tableau de Lénonard de Vinci) opérera depuis le Luxembourg.